Bakhita. Un prénom qui signifie « la chanceuse ».
Née au Darfour vers 1869, capturée et vendue comme esclave à l’âge de 7 ans, elle passera de mains en mains pour être finalement rachetée à l’adolescence par le consul d’Italie à Khartoum.
Il la remmènera dans son pays ou elle découvrira le christianisme.
Affranchie à la suite d’un procès retentissant, elle devient religieuse et va passer les cinquante années qui lui restent à vivre dans un couvent vénitien.
Elle meurt en 1947.
Le 1er octobre 2000 Jean-Paul II la déclare sainte.
Portrait bouleversant d’une femme exceptionnelle.
(O.F.)
Bakhita | Olmi, Véronique (1962-....) | Albin Michel |